Platon, Apologie de Socrate, Le Prytanée
« II n’y a rien qui lui convienne plus, Athéniens, que d’être nourri dans le Prytanée(1) ; et il le mérite bien plus que celui qui, aux jeux Olympiques, a remporté le prix de la course à cheval, ou de la course des chars à deux ou à quatre chevaux ; car […]